Critères d’admissibilité au Programme de Bourses pour les Autochtones
Le/la candidat(e) doit:
Les candidats doivent répondre à tous les critères d’admissibilité suivants pour être pris en considération pour la bourse. L’approbation est à la discrétion de la FSC-IF.
- S’identifier comme une personne Autochtone
- Résider dans un pays en développement d’Amérique latine, d’Asie ou d’Afrique.
- Avoir une expérience de direction ou soutien d’Organisations de Peuples Autochtones.
- Avoir une expérience de l’élaboration et de la mise en œuvre de projets ou d’initiatives avec des communautés de Peuples Autochtones.
- Avoir démontré son engagement en faveur des droits des Peuples Autochtones et dans des domaines liés à l’autodéveloppement, à l’autogouvernance et à l’autonomie des Autochtones.
- Avoir un intérêt pour les projets en phase avec les trois objectifs d’IPARD
- Avoir une bonne connaissance pratique de la langue parlée dans l’organisation dans laquelle le programme se déroulera (anglais, espagnol, français ou portugais).
Autres considérations
Exigences linguistiques : les candidats au sous-programme des Jeunes Praticiens peuvent parler anglais ou espagnol. Pour les candidats postulant au sous-programme Leadership et Réseautage, la FSC-IF placera les boursiers dans des pays stratégiques en fonction de la langue qu’ils parlent (espagnol, anglais, français ou portugais) ainsi que d’autres variables. Pour le sous-programme de Bourses de Capacité Autochtone, c’est au candidat de chercher une opportunité qui correspond à ses capacités linguistiques. Pour le sous-programme de Bourse de Développement Entrepreneurial, les candidats peuvent parler : anglais, espagnol, français ou portugais.
S’engager après la fin du Programme de Bourses à :
- un engagement de deux ans pour travailler dans leur pays
- participer et être actif dans un réseau mondial d’anciens élèves Autochtones en participant périodiquement à des événements promus par l’IPARD, le FSC-IF et l’USAID.
- jouer un rôle de premier plan dans les initiatives Autochtones locales/nationales ou régionales et former d’autres Autochtones après leur retour dans leurs pays/organisations respectifs.
- apporter un soutien actif à au moins un des trois objectifs du programme IPARD dans son pays.